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Le blog de Cath

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2 mars 2020

Clap de fin !!

Et voilà... après moult hésitations, lassée des caprices de Canalblog, j'ai enfin changé de plate-forme !

Vous pouvez donc me retrouver ici pour découvrir mon nouvel espace....

 

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La fin ici mais le début d'une nouvelle aventure ailleurs !

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28 février 2020

Sadhus

Lors de notre voyage dans le sud de l'Inde, il y a cinq ans,  nous n'avions pas vu beaucoup de Sādhus. M. Cath avait cependant détecté le capital photogénique de ces personnages.

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C'est ainsi que lors de la préparation de notre voyage dans le nord de l'Inde, l'accent a été mis sur les lieux où nous avions le plus de chance d'en rencontrer. La deuxième partie de la foire de Pushkar ainsi que notre passage à Varanasi sur les bords du Gange ont été l'occasion de fixer ces indiens emblématiques sur les capteurs de nos reflex. 

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L'existence d'un hindou (indien de religion hindouiste) passe par plusieurs étapes : étudier et se former pour décrocher un métier, fonder une famille. Puis lorsque la descendance est assurée  et que l'expérience est acquise, il faut effectuer un pèlerinage religieux. Certains indiens profitent de ce moment pour se consacrer entièrement à leur religion. Ils quittent leur famille, renoncent à la société, se détachent des biens matériels pour se libérer de l'illusion et des péchés terrestres. Le but est d'arriver à la fin du cycle des réincarnations pour intégrer son âme individuelle dans  le cosmos.

Le mot Sādhu signifie d'ailleurs : celui qui cherche la vérité.  

Pour atteindre cette ultime étape, après une formation par un "guru" et le choix de la voie de leur développement personnel, certains vont vivre en ermite dans la nature ; d'autres au contraire sillonnent le pays faisant étape dans les lieux saints.  

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Les Sādhus utilisent plusieurs moyens pour parvenir à leur but. La plupart pratiquent le yoga qui leur permet de contrôler leur souffle pour pénétrer au plus profond d'eux mêmes. La méditation est également beaucoup utilisée.

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Ils récitent des mantras ou font voeu de silence. Certains passent par des méthodes extrêmes appelées "mortification corporelle". Cela consiste a se tenir en permanence dans une position jusqu'à l'atrophie des membres. Les croyances enseignent que ces pratiques confèrent des pouvoirs tels que la lévitation, l'invisibilité (ce qui explique peut-être que nous n'en ayons pas vu beaucoup dans le sud !!!).

Comment peut-on voir et surtout reconnaître un Sādhu ?  

Nous allons respecter ceux qui vivent en ermite et étudier les autres. En général ils se tiennent à proximité d'un temple où d'un lieu sacré.

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La plupart de ceux que nous avons vus portent la barbe ainsi que des  cheveux  longs. C'est un signe de sacralité. Ils sont en majorité assez âgés.

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Les Sādhus sont d'ailleurs très respectés ; le fait de les toucher permet de s'absoudre de ses péchés.  Les indiens les consultent pour la résolution de leurs problèmes.

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En théorie, juste en les voyant, il est possible de savoir  quel dieu les sādhus  honorent. Les adeptes de Shiva portent une tunique (appelée "longhi") de couleur safran. Ils arborent sur leur front trois traits qui symbolisent l'abandon des trois péchés que sont l'égoisme, l'illusion et le désir.

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Les adeptes de Vishnou sont vêtus d'un longhi jaune ou blanc, couleurs caractéristiques de sainteté. Leur front est décoré d'un U vertical de couleur jaune ou blanche, entourant un point ou un trait rouge ou noir.

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On peut voir très rarement un ou des Sādhus quasiment nus. Ceux-ci font partie d'une secte beaucoup plus extrémiste adorant Shiva. Ils n'hésitent pas à entrer en conflit avec les adeptes d'autres religions. Leur nudité symbolise le détachement complet vis à vis des biens matériels. Ils sont appelés les "Naga baba"

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Ils portent quasiment tous un ou plusieurs colliers.

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Quelques-uns ont le corps recouvert de cendres, pour représenter la mort puis la renaissance.

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Certains Sādhus consomment du haschich. Sur la photo ci-dessous, le Sādhu de dos porte un trident qui est le symbole de Shiva. 

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Quelques femmes deviennent Sādhus ; elles ont une étape supplémentaire par rapport aux hommes avant de pouvoir s'affranchir du cycle des réincarnations. Décidément, même au niveau religieux, tout est plus difficile pour les femmes !

Elles devront se réincarner en homme avant de rejoindre le cosmos. Elles sont appelées "Sadhvis"

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Bien entendu,  dans les lieux touristiques en Inde on rencontre beaucoup de Sādhus d'opérette, qui sont des mendiants déguisés. Le concept est intéressant au niveau esthétique car ces (faux !) Sādhus sont très propres sur eux ! 

En général ce sont eux qui vont vous aborder pour un petit cliché en échange d'argent. 

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Contrairement à notre habitude, nous avons accepté de payer quelques photos car ils sont plutôt sympas et très cool (second effet du hashish ?!).

Vous verrez ci-dessous le "most expensive" Sādhu que nous ayons rencontré. Il a fallu négocier dur pour quelques photos de lui ; ses tarifs étaient en dollars américains !!! Finalement, après être passé en roupies et avoir divisé de moitié ses prétentions, nous avons conclu le marché 😊

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Les vrais Sādhus, comme les faux, vivent de mendicité. La nourriture étant une source de plaisir est limité au minimum ; elle dépend des donations de la population. N'oublions pas que les vrais Sādhus font vœu de pauvreté et de chasteté.

Ils se déplacent avec le minimum de bagages, souvent un seul sac. Ils possèdent tous une canne ou un bâton de pèlerin nommé "danda"et un bol à eau appelé "kamandalu", qui est le symbole du renoncement.

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En exclusivité pour le blog de Cath, voici quelques photos et même une vidéo de vrais Sādhus rencontrés à Pushkar. Ceux-ci viennent pour la journée afin de réaliser un des  pélerinages les plus important de leur vie. C'est à la gare routière que nous les avons rencontrés. Ils viennent de loin pour cette date importante du calendrier hindou et se déplacent en bus. Vous constaterez que la théorie des couleurs de longhi et des symboles sur le front pour identifier le dieu choisi par un Sādhu a du plomb dans l'aile dans la réalité !

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L'abandon des biens matériels semble également ne pas concerner le téléphone portable (nous avions d'ailleurs constaté cette exception auprès de bonzes asiatiques qui pourtant font le même vœu lors de leur intronisation).

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D'ailleurs si vous avez la moindre petite question concernant les Sādhus, n'hésitez pas à appeler celui-ci. Son numéro est facile à se rappeler car il est composé uniquement de 5, chiffre sacré et magique qui représente le nombre de visages de Shiva ainsi que le nombre de ses pouvoirs. Il pourra même vous faire passer un portrait de M. Cath !!!  

Surtout, ne nous adressez pas vos questions ! Lors de la préparation de ce voyage, malgré de nombreuses recherches, M. Cath n'a pu résoudre bon nombre d'interrogations. Après avoir passé quasiment un mois en Inde,  nous sommes revenus sans réponses précises sur des tas de sujets et surtout avec des observations à l'opposé des renseignements collectés avant notre départ. Nous avons compris qu'il fallait cesser de s'interroger à propos de tout ; les événements se déroulant dans ce pays de manière tout à fait aléatoire, il ne faut pas en déduire des généralités  et encore moins rentrer dans les détails. 

27 février 2020

"Pour voyager loin, il n'y a pas de meilleur navire qu'un livre." (Emily Dickinson)

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Le vent nous portera (Jojo Moyes) 
Présentation de l’éditeur : Animée par une soif d'aventures et de grands espaces, Alice s'éprend d'un bel Américain et s'empresse d'accepter sa demande en mariage, laissant derrière elle son Angleterre poussiéreuse. Mais le rêve américain est mis à rude épreuve au cours de la Grande Dépression dans la petite ville du Kentucky où elle atterrit, entre un mari qui s'avère décevant et un beau-père au tempérament ombrageux.
Aussi, quand la jeune femme répond à l'appel d'Eleanor Roosevelt pour créer des bibliothèques ambulantes afin de lutter contre l'illettrisme, c'est d'abord pour échapper à son quotidien étouffant. Elle se lie alors d'amitié avec Margery, une femme qui n'a peur de rien ni de personne. Ensemble, elles se jettent à corps perdu dans l'aventure et sillonnent à cheval les montagnes du Kentucky, bravant tous les dangers, pour apporter des livres dans les zones les plus reculées. Mais s'il y a bien une chose dont ces porteuses d'histoires ne manquent pas, c'est de courage.

Pour son dernier roman, Jojo Moyes s’est inspirée du « Pack Horse Library Project », un projet initié sous le gouvernement de Franklin Roosevelt. Ces bibliothèques itinérantes, chargées d’apporter des livres aux personnes les plus démunies, dans les régions reculées des Appalaches, ont été en service de 1935 à 1943 et ont joué un rôle important de lutte contre l’illettrisme. Elles ont aussi favorisé l’émancipation des femmes dans une Amérique encore très puritaine (la majorité des bibliothécaires à cheval étaient en effet des femmes). Sur ce fond historique (très bien documenté et passionnant !) l’auteure nous plonge au cœur du Kentucky et nous offre une jolie galerie de personnages attachants.
L’écriture est très agréable et on dévore les 600 pages de ce livre avec avidité (et surtout avec plaisir).
En bref, j’ai eu un vrai coup de cœur pour ce roman historique (et féministe) que j’ai trouvé captivant et je ne peux que vous le conseiller.
Vous trouverez plus d'infos sur le "Pack Horse Library Project" dans  cet article.

  

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La parade des enfants perdus (Pam Jenoff) 
Présentation de l’éditeur : 1944, Allemagne nazie, Noa, 16 ans, découvre un wagon contenant des dizaines de bébés juifs, en partance pour les camps, la plupart morts de froid. Bouleversée, elle enlève l'un des survivants et trouve refuge dans un cirque itinérant. Son directeur, Herr Neuhoff, s'engage à l'accueillir ainsi que son soi-disant petit frère à une condition : qu'elle maîtrise le trapèze volant en équipe avec Astrid, trapéziste juive. Dans cette guerre où chaque faux pas peut s'avérer fatal, Noa et Astrid doivent apprendre à se faire confiance en dépit de leurs terribles secrets.

Je suis souvent attirée par les romans traitant de la seconde guerre mondiale. J’ai découvert celui-ci un peu par hasard et le fait qu’il se déroule dans le milieu du cirque a aiguisé ma curiosité. J’ai finalement dévoré cette belle histoire d’amitié et de solidarité qui, si elle n’est pas une histoire vraie en elle-même, est inspirée de faits réels. L’écriture est juste et le roman très émouvant. Les sujets abordés changent un peu des autres romans historiques que l’on peut lire sur cette période et l’auteure a fait un gros travail de recherche pour rendre son récit tout à fait crédible (et passionnant !).  Un roman que je vous conseille sans hésiter !

 

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Disparaitre (Mathieu Menegaux) 
Présentation de l’éditeur : Une jeune femme met fin à ses jours à Paris, dans le XVIII° arrondissement.
Un homme est retrouvé noyé sur une plage, à Saint-Jean Cap Ferrat, sans que personne soit en mesure de l’identifier : le séjour en mer l’a défiguré, et l’extrémité de chacun de ses doigts a été brûlée.
Quel lien unit ces deux affaires ? Qui a pris tant de soin à préserver l’anonymat du noyé, et pour quelles raisons ? Qu’est-ce qui peut pousser un homme ou une femme à vouloir disparaître ?

Après avoir beaucoup apprécié « je me suis tue » et « est-ce ainsi que les hommes jugent », j’ai eu envie de découvrir le dernier roman de Mathieu Menegaux. J’ai retrouvé le style implacable de l’auteur et tourné les pages de son roman avec avidité. Sous ses faux airs de thriller (et sur fond de passion amoureuse), ce roman à plusieurs niveaux nous pousse une fois encore à nous interroger sur la dureté de notre société et sur ses dérives. L’auteur brosse un portrait sans concession de monde de la finance, de son élitisme et de la violence qui règne dans ce milieu, véritable rouleau compresseur prêt à broyer les hommes au nom du profit.
Le roman est très rythmé et même si on comprend rapidement le lien entre les personnages, cela ne gâche en rien le plaisir de lecture et on dévore les pages pour savoir comment les deux protagonistes en sont arrivés là.

 

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Les refuges (Jérôme Loubry) 
Présentation de l’éditeur : Installée en Normandie depuis peu, Sandrine est priée d’aller vider la maison de sa grand-mère, une originale qui vivait seule sur une île minuscule, pas très loin de la côte.
Lorsqu’elle débarque sur cette île grise et froide, Sandrine découvre une poignée d’habitants âgés organisés en quasi autarcie. Tous décrivent sa grand-mère comme une personne charmante, loin de l’image que Sandrine en a.
Pourtant, l’atmosphère est étrange ici. En quelques heures, Sandrine se rend compte que les habitants cachent un secret. Quelque chose ou quelqu’un les terrifie. Mais alors pourquoi aucun d’entre eux ne quitte-t-il jamais l’île ?
Qu’est-il arrivé aux enfants du camp de vacances précipitamment fermé en 1949 ?
Qui était vraiment sa grand-mère ?
Sandrine sera retrouvée quelques jours plus tard, errant sur une plage du continent, ses vêtements couverts d’un sang qui n’est pas le sien…

Ce thriller psychologique m’a tenue en haleine du début à la fin ! Avec ses « refuges », Jérôme Loubry nous offre une histoire à tiroirs à la construction machiavélique. Il nous balade et nous manipule tout au long du roman, nous emmenant sur une piste puis nous renvoyant sur une autre. On tente d’imaginer la suite mais on se trompe à tous les coups ! Et quand tout semble terminé, que l’on pense détenir toutes les clés, hop ! un dernier twist final !
Bien sûr, ce livre a aussi les défauts de ses qualités... L’intrigue est tellement tarabiscotée que l’on s’y perd un peu parfois et certaines situations manquent totalement de crédibilité. Mais si on oublie notre logique rationnelle, on se laissera facilement happer par ce roman très prenant et surprenant dont on tourne les pages avec avidité, jusqu’à la fin, totalement inattendue. On se demande où l’auteur peut bien aller chercher tout ça ! Quelle imagination… quelle maitrise dans le cheminement (tordu !) de cette histoire !

 

 

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J'ai terminé...

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Je suis en train de lire...

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26 février 2020

Un nouvel ensemble carnet et cartes !

A l'instar de ce carnet et de la série de cartes qui l'accompagnait, j'ai eu envie d'utiliser les restes de la jolie collection Sakura pour faire un nouveau carnet et deux cartes assorties. 

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L'intérieur du carnet avec une petite pochette sur la couverture

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Et les deux cartes assorties, qui m'ont permis d'utiliser les matrices bambou et lotus que je ne sors pas souvent....

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"Et si c'était ça, le bonheur, pas même un rêve, pas même une promesse, juste l'instant."
Delphine de Vigan

25 février 2020

Scène unique...

...et surtout scène haute en couleurs ! Nous vous avions parlé dans ce reportage  du rassemblement de deux milles indiennes en tenue traditionnelle (qui  dansaient pour figurer dans le guiness des records) sur lequel nous étions tombés par (un heureux !) hasard. Ce concentré de couleurs vives méritait bien une page (aux couleurs vives !).

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"Ma vie c’est moi qui vais la peindre, alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs."
Grand corps malade

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24 février 2020

Histoires de newsletters...

Vous l'avez probablement remarqué si vous êtes des visiteurs réguliers de ce blog, Canalblog multiplie les caprices en ce moment et n'envoie les newsletters que de manière (très !) aléatoire !! Vous êtes nombreuses à me le faire remarquer mais je n'y peux hélas rien du tout. Et croyez bien que je suis la première à en subir les conséquences ! Les visites sont en chute libre et je ne parle même pas des commentaires qui, on ne le dira jamais assez, sont tout de même le moteur qui me motive à rendre mon blog le plus vivant et le plus varié possible. Je suis en train de changer de plate-forme mais j'avoue que je suis tellement habituée à Canalblog et que mon blog est tellement fourni que ça n'est pas une mince affaire ! Depuis 14 ans, je m'y sens un peu comme à la maison !!

Bref... revenons à nos histoires de newsletter ! Je suis moi-même abonnée à ma newsletter, non pas par nombrilisme (!!) mais pour voir comment cela fonctionne.... ou plutôt comment cela ne fonctionne PAS en ce moment ! Par curiosité, je me suis même abonnée une seconde fois avec une adresse mail différente et j'ai eu la surprise de constater qu'avec cette adresse Gmail, je recevais bien mes newsletters (ce qui n'est pas le cas avec mon adresse chez Orange). Alors suffit-il de changer de boite mail pour que ça fonctionne ?

J'ai cependant une meilleure solution pour que vous soyez prévenus à coup sûr lors de la publication d'un nouvel article. Une solution dont je vous avais déjà parlé il y a de cela des années et qui, en plus de fonctionner parfaitement, va vous permettre d'alléger votre boite mail (et puis il faut bien avouer qu'au bout d'un moment, lorsqu’on reçoit ce genre de message répétitif, on le met machinalement à la poubelle sans même aller voir les articles annoncés ! J'en veux pour preuve que bien qu'ayant plus de 2500 abonnés à ma newsletter, j'arrive en ce moment difficilement à 1000 visites quotidiennes !)

Ceux qui ne connaissent pas Bloglovin se demandent probablement de quoi il s'agit. C'est tout simplement un "agrégateur de flux" ou, pour parler plus simplement, un endroit qui centralise en un seul coup d'oeil tous les blogs que vous désirez suivre (sans avoir besoin de vous abonner aux neswletters), accessible de n'importe quel ordinateur, tablette ou téléphone. On peut y voir le contenu des articles (contenu partiel ou intégral selon les blogs ; sur le mien, il ne s'agit que d'un contenu partiel pour vous donner une idée de ce qu'il y a à voir mais il vous faut ensuite cliquer sur l'article pour le découvrir directement sur mon blog, dans son intégralité). Le site est en anglais mais à mon avis suffisamment intuitif et facile d'utilisation pour s'en sortir sans être très doué dans la langue de Shakespeare ! Et si vraiment vous aimez recevoir des mails pour être prévenus des publications, il y a la possibilité de recevoir une notification à chaque publication ou une par jour qui regroupe tous les derniers articles publiés sur les blogs que vous suivez. C'est pour moi l'alternative idéale aux newsletters, que j'utilise depuis de nombreuses années et dont je suis très satisfaite. Elle m'a permis d'alléger considérablement ma boite mail, de me faire gagner du temps sur les visites de mes blogs favoris et même de réduire mon empreinte carbone :-)

Convaincus ? Si vous souhaitez commencer à suivre mon blog via ce site, il vous suffit de cliquer sur ce lien et vous arriverez là...

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Il faut ensuite cliquer sur "+ Follow" et vous laisser guider.

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Demain, promis, on revient au scrap !

Je vous parle de Bloglovin dans cet article car il s'agit de l'agrégateur que j'utilise depuis des années mais il en existe d'autres (qui sont peut-être aussi bien !)

21 février 2020

Jodhpur - Les jardins de Mandore

C'est dans les jardins de Mandore que nous allons nous promener aujourd'hui. Cette ville était la capitale du Marwar, une région du Rajasthan, du 6ème siècle jusqu'en 1459 ; la capitale a ensuite été transférée à Jodphur, plus facile à défendre avec sa forteresse en hauteur. Le fort d'origine a disparu de Mandore et il ne reste que des cénotaphes de Maharadjahs pour rappeler ce passé prestigieux. De nos jours, cette ville a été rejointe par Jodhpur et fait partie de sa périphérie.

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Ces jardins sont fréquentés par de nombreux groupes de singes Langur. Ils sont assez tranquilles, à condition de ne pas trop les approcher ni de leur montrer de la nourriture. Les hindous les vénèrent car ils représentent le dieu singe Hanuman.

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Leur queue peut mesurer jusqu'à un mètre.

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Ils ont des attitudes très similaires aux nôtres.

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Mais apparemment, ils ne disposent pas d'anti-puces !

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Nous ne sommes pas venus ici uniquement pour contempler les singes... Faisons plutôt le tour du site pour admirer les différents temples en excellent état qui, pour une fois, sont mis en valeur par la végétation alentour et l'aménagement des jardins très réussi.

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Le plus imposant des temples a été construit en 1730. Il reproduit en miniature l'architecture des temples hindous à tour-sanctuaire. Ce genre de temple est appelé "Dewal".  

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Le second style de  cénotaphes est appelé "chhatri" ; ce sont des pavillons à colonnes, les plus répandus au Rajasthan.

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L'ensemble est très homogène car construit en grès rouge.

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20 février 2020

Un carnet et sa carte

Courant janvier, j'ai acheté un bloc de papier "à pas cher" au format 20 x 20 cm. Comme toujours dans ces blocs, il y a des papiers qui me plaisent beaucoup... d'autres beaucoup moins pas du tout !
Le carnet que je vous montre aujourd'hui a évidemment été réalisé avec ceux qui me plaisent le plus 😊
On y retrouve mes fleurs de frangipanier dont je ne me lasse pas (ma matrice commence d'ailleurs à moins bien couper à force d'être utilisée !).

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Et la petite carte assortie, qui m'a permis d'utiliser un morceau de calque issu du bloc....

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"Plus vous aurez de valeurs humaines plus vous serez un humain de valeur."
Louis Berger

19 février 2020

Stadshuset

L'hôtel de ville est un des monuments emblématiques de Stockholm ! L'architecte qui l'a construit au début du 20ème siècle se serait inspiré des palais vénitiens (notamment le palais des Doges).

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Vous constaterez que j'étais encore dans ma période hexagones lorsque j'ai réalisé cette page !

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"Quand tu te lèves le matin, pense aux précieux privilèges que tu as d'être vivant, de respirer, de penser, de sentir, de toucher et d'aimer."
Albert Camus 

18 février 2020

Une petite dernière !

Une dernière carte de voeux réalisée courant janvier pour tester cette matrice fraîchement reçue...

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"Faites comme l'arbre, changez vos feuilles et gardez vos racines...
Changez vos idées et gardez vos principes !"
Proverbe tibétain

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